Claudia Leeb – Contesting The Far Right: A Psychoanalytic and Feminist Critical Theory Approach

Bonjour tout le monde !

Pour la 61e conférence de PhiloSitué-es (anciennement Fillosophie), nous aurons le plaisir d’accueillir Claudia Leeb (Washington State University) pour sa conférence intitulée “Contesting The Far Right: A Psychoanalytic and Feminist Critical Theory Approach”. La conférence sera donnée en anglais. Les questions pourront être posées en français ou en anglais.

Rendez-vous le Mercredi 17 avril à 13h30 en salle W 5215, au département de philosophie de l’Uqam. (455 boulevard René Lévesque Est)

Évènement Facebook → https://fb.me/e/8uQjMWQdf

Site internet → https://philositue-es.com/programmation-2023-2024/

Voici le résumé :

“Why have so many people responded to the insecurity, exploitation, alienation, and isolation of precarity capitalism by supporting the far right? In this timely book, Claudia Leeb argues that psychoanalytic and feminist critical theory illuminates how economic and psychological factors interact to produce this extreme political shift.

Contesting the Far Right examines right-wing recruitment tactics in the United States and Austria, where people discontented with the status quo have turned to far-right parties and movements that further cement capitalism’s adverse effects. Leeb contends that Freudian psychoanalytic theory and early Frankfurt School Critical Theory provide analytical tools to explain this apparent contradiction in psychological terms. Living under precarity capitalism generates feelings of failure and anxiety, which people experience as non-wholeness, because it has become difficult if not impossible to live up to the fetish of economic, interpersonal, and bodily success, and the far right preys on such feelings. Its psychologically oriented propaganda tactics produce the illusion of wholeness and a positive sense of self while leaving the socioeconomic conditions that cause people’s suffering intact. At the same time, they remove the inhibitions that keep people’s repressed aggression and racist and sexist attitudes in check. To demonstrate the workings of this process, Leeb compares cases including Trump and the alt-right in the United States and the Freedom Party and the identitarian movement in Austria. At once theoretically rich and politically engaged, this book also offers ways to resist the far right and counter the psychological appeal of its propaganda techniques.

La conférence sera donnée en anglais et se veut ouverte à un public général.

Nous pourrons prendre vos questions par écrit (sur papier ou sur les réseaux sociaux).

Des collations et des boissons chaudes (thé, café) vous seront offertes suite de la conférence.

Au plaisir de vous y voir en grand nombre!

L’équipe PhiloSitué-es


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Beatrice Longuenesse – Kant and Freud on Moral Ideals

Au nom du département de philosophie de l’Université de Montréal, j’ai le plaisir de vous inviter à une conférence (en anglais) le jeudi 18 avril, de 15 h à 17 h, au local 422, 2910 boul. Édouard-Montpetit :

On behalf of the University of Montreal philosophy department, you are warmly invited to a talk next thursday, April 18, from 15:00  – 17:00 pm, in room 422, in the UdeM philosophy building, 2910 boul. Édouard-Montpetit

Beatrice Longuenesse (NYU)

Title:

Kant and Freud on Moral Ideals

Abstract:

Sigmund Freud’s view of the structural features of our mental life offers striking similarities with Kant’s view. In previous work, I have focused on the similarities between what Kant calls the “unity of apperception” and what Freud calls “the ego” (das Ich), on one hand; and, on the other, on Kant’s and Freud’s respective views of the categorical nature of moral commands. In this paper, I briefly recall those earlier results. But my focus is on a further point: the connections and contrasts between Kant’s conception of the ideal of moral perfection, on the one hand; and Freud’s concept of the “ego ideal,” on the other. In Kant’s and Freud’s respective views of our mental lives, the two concepts (ideal of moral perfection, ego ideal) play strikingly similar roles, even while their respective ontological grounds are radically opposed. For Freud, our moral ideals are grounded in a generic natural drive to connection and unity which he calls “libido” or “love.” For Kant, moral ideals are grounded in pure practical reason and in our belonging to an intelligible world which escapes natural determinism. I explore the consequences, for the role of our moral ideals, of this striking ontological reversal. I argue that Freud’s view is closer to Kant’s than is generally believed, including in their shared pessimism about the power of moral ideals to govern out lives. Freud’s pessimism, however, is far more radical than Kant’s. Current times might well, alas, prove him right.

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questions à:

jonathan.simon@umontreal.ca

Nico Silins – The Lamp that Lights Itself: Consciousness and Inner Awareness

On behalf of the University of Montreal philosophy department, you are invited to a talk on thursday, March 21, 1-3 pm, in room 422, 2910 boul Édouard-Montpetit:

Nico Silins (Cornell University, Philosophy)

Title:
The Lamp that Lights Itself: Consciousness and Inner Awareness


Abstract:

According to an ancient and controversial metaphor in Buddhist philosophy, consciousness is a lamp that lights itself.  To put the point in contemporary terms, consciousness is 🔥.

I aim to unpack the Buddhist metaphor with its most philosophically rich and defensible reading.  Here I offer exegetical options to interpreters of classical Indian and Tibetan philosophy, as well as theoretical options to investigators of consciousness in any tradition.  On the interpretation I defend, you are always aware of a conscious mental state whenever you are in one, and the conscious character of the mental state is what makes you have awareness of it. 

I first spell out and clarify my reading of the metaphor of consciousness as a lamp that lights itself.  I then contrast my reading with rival takes on the explanatory relation between consciousness and inner awareness, and to defend it against those rivals.  In particular, I oppose higher-order theories of consciousness that maintain the explanatory priority of inner awareness over consciousness.  I close by responding to several important objections to my own position.

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inquiries to

jonathan.simon@umontreal.ca

Rencontre avec des fondatrices – PhiloSitué-es

Bonjour tout le monde !

Notre organisme PhiloSitué-es (anciennement Fillosophie), fête ses 10 ans ! En guise de célébration nous avons le plaisir d’accueillir quelques unes des fondatrices, Clélia Sève, Marina de Seta et Sarah Arnaud !

Rendez-vous le Vendredi 8 mars à 16h en salle W-5215, au département de philosophie de l’Uqam. (455 boulevard René Lévesque Est). Cet évènement est prévu à la suite de la Conférence départementale prévue à 13h30 dans la même salle (W-5215).

La rencontre avec des fondatrices de PhiloSitué-es est un évènement bi-modal, vous pouvez donc y assister sur zoom avec le lien suivant : https://uqam.zoom.us/j/83792862921

L’événement sera donné en français et se veut ouvert à un public général.

Des collations et des boissons chaudes (thé, café) vous seront offertes à la suite de la conférence.

Vous pouvez consulter notre page facebook ici et notre site internet ici pour retrouver ces informations.

Résumé de l’évènement :

Voilà maintenant 10 ans que notre organisme existe. Comment s’est-il créé ? Pourquoi s’est-il créé ? Que sont devenues les personnes qui ont participé à sa fondation ?

PhiloSitué-es est un organisme qui s’est maintenu dans le temps grâce à de nombreux-euses étudiant-es. Ces personnes ont donné de leur temps bénévolement afin de créer un espace de reconnaissance professionnelle pour le travail des personnes souvent invisibilisées en raison de leur genre et de leur positionnement social en philosophie. Nous vous invitons le 8 mars à venir fêter les 10 ans de cet organisme en venant assister à une rencontre avec quelques unes des personnes qui ont participé à sa création.

Vous pourrez alors connaître plusieurs de ces fondatrices, entendre leur expérience et discuter sur les conditions et les possibilités de création d’un organisme en réponse à des problèmes tels que la sous-représentation des femmes et minorités de genre en philosophie.

L’équipe de PhiloSitué-es

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Colin Guthrie King – Règles de la prédication du genre aux Topiques Δ

Le département de philosophie de l’UQAM a le plaisir d’accueillir le professeur Colin Guthrie King (Providence College) qui présentera une conférence intitulée « Règles de la prédication du genre aux Topiques Δ ».

Date : Vendredi 8 mars, de 13h30 à 15h30

La conférence aura lieu en format hybride, soit en présentiel à la salle W-5215 de l’UQAM et simultanément sur Zoom.

Le formulaire d’invitation pour la session Zoom se trouve à cette adresse: https://uqam.zoom.us/meeting/register/tZMscu6przwqEt3eKd_wUx97XySsANJ0WZ78 .

Résumé: Je ne vise pas à mettre de l’avant une interprétation compréhensive de la prédication générique dans le livre Δ des Topiques d’Aristote. Le but est plutôt de faire comprendre pourquoi une telle tâche est difficile. La thèse interprétative que je cherche à développer ici est que le manque de cohérence entre certaines règles de la prédication générique et leur caractère flottant peut être expliqué par le fait qu’en plusieurs endroits de Top. Δ, Aristote cherche à dériver des règles de la prédication générique à partir de règles de la division, tandis que dans autres contextes il cherche à critiquer, réviser et quelque fois même rejeter des règles de la division sur la base de sa théorie de la prédication. Au cœur de cette théorie de la prédication est la théorie de prédicables, entendue comme une théorie des réponses aux questions dialectiques. Je conclus en considérant les ressources de la théorie de la prédication de genre pour une théorie de la déduction et une sémantique des questions.

Pour plus d’informations, veuillez SVP contacter Mauro Rossi (UQAM) à rossi.mauro@uqam.ca.

Colloque étudiant.es par le Groupe de recherche en éthique environnementale et animale (GRÉEA)

Colloque étudiant.es par le Groupe de recherche en éthique environnementale et animale (GRÉEA)

Le Groupe de recherche en éthique environnementale et animale (GRÉEA) annonce avec enthousiasme la tenue d’un colloque étudiant.es pour les étudiant.es qui souhaitent partager leurs travaux portant sur les axes de recherches du GRÉEA :
Les enjeux normatifs fondamentaux de l’éthique animale et/ou de l’éthique environnementale;
Les questions pratiques qui entourent nos rapports aux animaux et à la nature;
Les connaissances scientifiques et les considérations épistémologiques qui nous permettent de penser nos relations avec le non humain.
Objectif : L’objectif du colloque est d’encourager le partage d’idées et la discussion sur les thèmes mentionnés ci-dessus. Il s’agit d’une opportunité et d’une expérience de présentation pour les étudiant.es intéréssé.es dans un environnement propice au partage.

Détails sur la présentation : Chaque présentation durera 30 minutes avec environ 20 minutes allouées à la présentation du travail et 10 minutes pour la discussion. Un horaire sera disponible dans les prochaines semaines, suite à la sélection des propositions.

Consignes: Les propositions doivent être anomymisées et inclure un titre, un résumé de 300 mots maximum (hors bibliographie) et une bibliographie indicative (10 références maximum). Les candidatures peuvent être soumises en français ou en anglais.

Lieu : Le colloque aura lieu le 19 et 20 avril 2024 à Montréal/Tiohtià:ke en présentiel. Des compensations financières seront offertes pour couvrir les déplacements jusqu’à Montréal (par voie terrestre) et les frais de séjour des participant.es en provenance d’autres régions.

Information sur la soumission d’une candidature : Les propositions doivent contenir, en feux fichiers séparés, un résumé et une page contenant les informations suivantes : prénom et nom, pronoms, courriel, statut actuel (étudiant.e à la maîtrise, master, doctorat, postdoctorat.e ou autre), affiliation universitaire, nom du programme et date d’inscription OU date d’obtention du diplôme, titre de la communication et appartenance à un/des groupe/s marginalisé/s (optionnel). Elles doivent être envoyés au plus tard le 22 mars 2024 à Rebecca Soland.
(rebecca.soland@umontreal.ca)

Les candidatures de femmes, de personnes autochtones et racisées, de membres de minorités visibles et/ou de genres et/ou de personnes en situations de handicap sont fortement encouragées.

Les résultats de la sélection sera disponible aux candidats.es durant la première semaine d’avril.

Le GRÉEA reconnaît que la majorité de ses activités a lieu sur les territoires autochtones non-cédés à Tiohtià:ke/Montréal.

Pour plus d’information sur le GRÉEA : https://greea.ca/

Michael Kremer – Animals, Infants and Idiots’: The Exclusion of Intellectual Disability in Gilbert Ryle’s Philosophy of Mind

You are warmly invited to a talk (in english) next thursday, February 29, 1-3 pm, given by the University of Montreal philosophy department, in room 422, 2910 boul. Édouard-Montpetit. Please share with friends or students who might be interested:

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Michael Kremer (U. Chicago, Emeritus)

‘Animals, Infants and Idiots’: The Exclusion of Intellectual Disability in Gilbert Ryle’s Philosophy of Mind 

Abstract:

Gilbert Ryle’s project in The Concept of Mind (1949) explains human mindedness in terms of the mesh of capacities and tendencies that constitute the form of a  human life. He thus presents a broadly Aristotelian alternative to the dualism he rejects. However, this philosophy also involves a problem somewhat parallel to that raised for Aristotle’s anthropology by his treatment of “natural slaves.” Ryle specifies the phenomenon he wishes to capture through a contrast with “animals, infants, and idiots,” thus excluding intellectually disabled human beings from the class of beings endowed with minds. I place this exclusion in the historical context of 20th century eugenics discourse (and Ryle family connections to that discourse); discuss ways in which this exclusion affects Ryle’s philosophy of mind; and consider whether a basically Rylean picture of the mind can survive if we purify it of its ableist/eugenic aspects.

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Jonathan Simon and Daniel Dumouchel

UdeM Philosophy Colloquium Committee

Reading group: “Present-Absent: Amnesia, Aphasia, Anomia in Critique & Social Theory”

We are witnessing the settler/neo-colonial technics of forgetting, disarticulating, silencing, unknowing, censoring. A person can become a nonperson. A thing can become a no-thing. A hollow void. A presence made absent. In a blink of an eye, a history becomes a haunting shadow, a lingering ghost. At the same time, the subject is obstructed in its access to reality, discombobulated in its speech and comprehension. Words escape. Vocabulary is lost in perpetuity. Frame of reference slips away.

What does it mean for a person to be sent into exile in their own homeland? What does it mean for a language, a speech act, a manner of articulation to become archaic without the knowledge of its interlocutors? And what does it mean for a history to (be forced to) go astray? These are but a few questions about the politics of remembering and forgetting that have occupied theorists of many fields, past and present.

In this reading group, we will explore this occlusive reality where communication and knowledge are dominated by power. As our focal points of departure, amnesia, aphasia, and anomia are more than mere psychiatric diagnoses of memory and communication disorders. Through anthropology, sociology, foreign policy, history, linguistics, literary criticism, and poetry, we will encounter the multifarious critique and social theories that make creative use of these psychiatric analogies.

Join Cultural Critique Collective at our next reading group “Gathering no. 4: Present-Absent: Amnesia, Aphasia, Anomia in Critique & Social Theory.”

Time: Every Friday, 3-5PM EST, March 1 – April 5, 2024

Location: Hybrid, Zoom & in person (location in Montreal TBD)

Register now here to indicate your interest and receive the reading syllabus with the assigned texts.

Groupe de lecture en philosophie de la physique

Le Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie vous invite à participer à un groupe de lecture en philosophie de la physique.

La physique a été longtemps considérée comme le parangon des sciences. La philosophie des sciences se tournait ainsi naturellement vers elle pour y puiser ses définitions, modèles et paradigmes. À la fin du siècle dernier, les choses ont changé et la philosophie des sciences a été marquée par une plus grande diversité de sujets et d’approches. La philosophie de la physique n’est pas en reste. Ce champ de recherche se penche sur plusieurs sous-disciplines de la physique, parfois interdisciplinaires, touche à plusieurs questions philosophiques fondamentales, et embrasse de multiples approches de chercheurs institutionnels et indépendants. Il va sans dire que certains de ses domaines demandent certaines compétences techniques, mais il faut souligner qu’une formation philosophique générale peut tout de même y contribuer. C’est d’ailleurs le parti que s’est donné le récent Routledge Companion to Philosophy of Physics (2022). Les séances de ce groupe de lecture en philosophie de la physique (qui n’exige pas de formation en physique) y puiseront ses textes et aborderont des thèmes généraux tels que la place de l’expérience et des mathématiques en sciences, la causalité, la nature des explications et le réductionnisme. Il suffit de lire le texte et de vous présenter à la séance!

La prochaine rencontre aura lieu le mercredi 21 février.

Date : 21 février 2024

Heure : 17h30

Lieu : UQAM, Salle N-8510 et virtuellement

Texte : Entropy Asymmetry, par Arianne Shahvisi

Voir le lien suivant pour plus des informations et accès aux textes : https://cirst.uqam.ca/activites/groupe-de-lecture-en-philosophie-de-la-physique/

Giuseppe Bianco – Les foires aux systèmes. Schémas récurrents des congrès internationaux de philosophie avant la seconde guerre mondiale

Le département de philosophie de l’UQAM a le plaisir d’accueillir le professeur Giuseppe Bianco (Università Ca’ Foscari Venezia) qui présentera une conférence intitulée « Les foires aux systèmes. Schémas récurrents des congrès internationaux de philosophie avant la seconde guerre mondiale ».

Date : Vendredi 1 décembre, de 15h à 17h

La conférence aura lieu en format hybride, soit en présentiel à la salle W-5215 de l’UQAM et simultanément sur Zoom.

Le formulaire d’invitation pour la session Zoom se trouve à cette adresse https://uqam.zoom.us/meeting/register/tZ0rf-isqjovEtTV4IE8FABsiGqZJOuav5tE.

Résumé: Cet exposé est la synthèse partielle des premiers mois d’un projet de recherche de trois ans financé par la Commission européenne (INTERPHIL – “The international congresses and the transnational shaping of philosophy (1900-1948) Spaces – Struggles – Identity – Knowledge”) concernant l’histoire des dix congrès internationaux de philosophie et leur contribution à l’institution de la philosophie en tant que discipline académique. Ce projet implique une approche historique et conceptuelle ainsi qu’une approche sociologique et lexicométrique, qui est en cours d’élaboration au CIRST. Après une introduction concernant l’état de la circulation européenne du savoir avant 1900, dans ma présentation, je me concentrerai sur les schémas communs dans l’histoire des congrès et j’explique les raisons de leur manque de succès. Trois aspects sont isolés : a) la tentative de normaliser les pratiques de production de connaissances et d’optimiser l’échange de données ; b) la relation entre les échanges de biens matériels et les échanges de biens symboliques ; c) la présence d’un contexte conflictuel, à la fois au niveau intra- et inter-national.

Bio: Giuseppe Bianco est professeur d’histoire de la philosophie à l’université Ca’ Foscari de Venise. Il a publié livres et articles sur l’histoire de la philosophie et des sciences humaines et sociales en Europe (xixe et xxe siècles). Il est notamment l’auteur d’Après Bergson (PUF). Il travaille à un livre sur la disciplinarisation de la philosophie en Europe avant 1950 et à une socio-genèse de l’oeuvre de Gilles Deleuze.

Pour plus d’informations, veuillez SVP contacter Mauro Rossi (UQAM) à rossi.mauro@uqam.ca.